Nutrition – Le basilic : une herbe aromatique vitaminée

Le basilic

Véritable petit cocktail vitaminique et minéral, le basilic apporte une saveur unique aux mets qu’il accompagne.
Sa présence permet d’utiliser moins de matières grasses et de sel, tout en préservant le plaisir du goût.

Découvrez vite ses nombreux atouts !

1

Le basilic  :  un apport en calorie négligeable

Avec son parfum exceptionnel, le basilic apporte du goût pour un coût négligeable de calories. S’il apporte 30,7 kcal/100 g, les quelques feuilles utilisées dans une recette représentent un apport calorique très faible à ne pas prendre en compte.

2

Le basilic : une source de fibres

Lorsque nous pensons aux aliments sources de fibres, nous n’incluons pas spontanément les herbes fraîches. Et pourtant celles-ci, et notamment le basilic, peuvent aider aux apports quotidiens. Le basilic apporte en effet 3,4 g de fibres /100 g soit en moyenne 10 % des apports conseillés. Ceci ne peut que nous inciter à mettre des portions généreuses de basilic.

3

Le basilic : riche en Vitamine A

Le basilic apporte de la vitamine A (591 μg/100 g ) sous forme de bêta-carotènes. La vitamine A est essentielle à la vision et contribue à avoir une jolie peau.

4

Le basilic : riche en vitamine B9 (ou acide folique ou folates)

Avec une teneur de 68 μg/100 g, le basisilc est une aide savoureuse pour l’apport de vitamine B9 (à condition d’en mettre suffisamment dans les recettes) nécessaire au renouvellement des cellules de notre organisme (globules rouges et blancs, cellules de peau…). C’est une vitamine importante chez les femmes en âge de procréer. Evitez de cuire de façon excessive le basilic pour éviter que cette vitamine soit détruite par l’action de la cuisson (chaleur, eau..).

5

Le basilic : source de vitamine C

Le basilic apporte de la vitamine C (14,5 mg/100 g) qui favorise une meilleure absorption du fer apporté dans les végétaux, et réduit la fatigue. Savourez votre basilic de préférence cru, la cuisson entraînant une perte de 50 % de sa teneur en vitamine C.

6

Le basilic : riche en fer 

Le fer est un oligo-élément précieux qui intervient dans la formation des globules rouges. Pour profiter au mieux du fer végétal apporté par le basilic (5,24 mg/100 g), associez-le à un fruit ou un légume riche en vitamine C (même si lui-même en contient déjà) comme le poivron ou la framboise, la fraise ou encore le citron.

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Le basilic : riche en manganèse et riche en cuivre

Manganèse et cuivre sont deux oligo-éléments qui ont comme point commun de contribuer à protéger les cellules du stress oxydatif cause du vieillissement.Le basilic par son apport en manganèse (1,15 mg/100 g) et en cuivre (0,39 mg/100 g) enrichit les solutions alimentaires qui nous permettent de couvrir nos besoins.

8

Le basilic : source de magnésium

La magnésium est bien connu. Une paupière qui saute, une crampe nous rappellent le rôle qu’il a sur la transmission de l’influx nerveux dès que nous en manquons. Le magnésium intervient également sur la réduction de la fatigue.
L’évolution de nos habitudes alimentaires font que nous consommons moins d’aliments qui en apportent (fruits secs et oléagineux, légumineuses, aliments complets….). Aussi, créez des associations gagnantes en associant ces aliments au basilic (64mg de magnésium/100 g).

9

Le basilic : riche en calcium

Si les produits laitiers sont la principale source de calcium (nécessaire pour des os et des dents solides et la coagulation sanguine) de notre alimentation, certains fruits et légumes en apportent également dont le basilic qui affiche une teneur de 274 mg/100 g. Une aide pour les petits consommateurs de produits laitiers.

100 g de basilic* = un cocktail vitaminique et minéral

65 % de la VNR en vitamine A
18 % de la VNR en vitamine C
34 % de la VNR en vitamine B9
17 % de la VNR en magnésium
34 % de la VNR en calcium
37,4 % de la VNR en fer
38 % de la VNR en cuivre

57 % de la VNR en manganèse

Ces qualités nutritionnelles donnent envie d’en consommer bien plus que les quelques feuilles que nous mettons dans nos salades !


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*Les termes « source de  » et « riche en  » sont réglementés.
Il est possible de les utiliser uniquement quand la teneur de l’aliment en une vitamine ou un minéral répond à des critères quantitatifs spécifiques.
Pour dire qu’un aliment est « source de « , il doit contenir à minima 15 % de la Valeur Nutritionnelle de Référence (VNR) de la vitamine ou du sel minéral concerné.
Pour dire qu’un aliment est « riche en« , il doit contenir à minima 30 % de la Valeur Nutritionnelle de Référence (VNR) de la vitamine ou du sel minéral concerné.
* Source : Table Ciqual – Anses